Margicia assise face a la porte semble parler seule- Je ne sais pas si c'est une bonne idée. Te raconter tout cela ne te servirai a rien, bien au contraire meme.
La horde! La horde ! Tu sais meme chez nous tous les croque-mitaines n'ont pas leur propre porte, et tout les ogres ne mangent pas des petits enfants. Enfin pas toujours a leur fain du moins. Un jour tu comprendras que nous sommes tous enchainé a notre condition et que bon gré, mal gré nous finissons toujours par faire ce que l'ont attends de nous. Et toi le premier. Sauf peut etre La Dame et Thrall. Quoique avec son cerveau d'orc ca m'étonnerais qu'il arrive a suivre son propre kha (piquer au pistoléro ca ;-p).
Oui, oui j'y viens, mais tout me semble si loin si embrouillé. Lorsque je croise mon reflet dans l'eau, j'ai l'impression que tout ca appartiens a quelqu'un d'autre. Que ce n'est qu'un stratagème pour faire avancer cette vieille carcasse, encore et toujours.
Je suis née il y a fort longtemps, enfin je crois. Le Temps n'as plus aucune emprise sur moi, ces petites moqueries et autre maléfice n'ont plus d'effet. C'était donc a une époque que tu n'as pas connu, pour te dire le Darkshire était un endroit paisible ou il fesait bon vivre, pas cet immonde foret pleines de worg et autre saloperies. En ce temps la nous commencions a construire la ville. Les humains de stormind commercaient avec ce ramassit de pirates qui a fondé Baie-du-butain. Mon père jugea l'endroit parfait pour y monter son auberge. Et il eu raison, le commerce allant bon train, l'ambonpiont fit son apparition sur son ventre aussi vite que la dentelle dans la garde robes de ma mère.
Certains dirai que la vie était douce, je la qualifirais plutot de morne, fade, insipide. Chaque jours était comme son précedant et nous promeétait d'etre comme le suivant. Puis un jour tout bascula, mais lentement, inperceptiblement les choses changeaient. Une frce que rien n'aurais, n'a pu arreté c'est mit en marche. La guerre.
La guerre, le mot est laché. La guerre a été déclaré, par qui, contre qui ou pourquoi je n'ai jamais su. Tout ce que j'en connaissait c'est ce que les soldats ont bien voulu me raconter. Mais toujours est il que ca a été de mal en pis : le roi décréta que le plus important était la guerre, nous durentdonc nourir tout les soldats gratuitement, en esperant récupéré l'argent a la fin de leurs guerre. Les soldats, doux euphémisme ce sont des bataillons de soldats que nous avons du nourir. Combien en ai je vu défiler, combien on essayer de pauser leurs mains sur moi, je hait les soldats!. Le choses étant ce qu'elles sont mes parentsont fini par fermé leurs auberge, leur vies. Ayant a peine de quoi subsister, j'ai décidé de partir seule voir ce qu'était la guerre et essayer de comprendre pourquoi le roi préférai laisser son peuple mourir.
Je prit donc la direction du sud, apres peu de chemin je suis arrivé dans la plus magnifique foret qu'il m'ai été donner de voir. Elle était immense, absolument gigantesque, des couleurs et des formes inimaginable, des senteures a en damné un saint, des animaux étranges a poils a plumes, un vrai paradis. Et ... un oeil ... étrangement je ne l'avait pas vu avant, pourtant il a l'air immense au milieu des feuilles. Et apres ... apres rien si ce n'est une sentation de dents, de griffes, d'écailles et surtout une haleine fétide. Peu etre aussi une sensation de panique bien vite étouffer. Le noir.
Une petite voix, toute douce. J'ai l'impression qu'elle me parle depuis longtemps, qu'inlassablement elle me repette les memes choses. Je ne comprends pas les mots et le sens reste obscure. Mais mon corps s'y accorde.
Une petite voix qui n'a plus rien d'enjoleur, est ce vraiment la meme, s'enfonce dans mon etre, et grave ces paroles dans mon ame. La Dame Sylvanas est ma déesse, je ne suis que pour la servire. Maintenant leves toi et marche. Ce que mon corp fait sans le moindre petit coup de pouce de ma part.
Cela fait maintenant bien longtemps que j'oeuvre en son nom. Les début fure difficiles, j'ai longtemps erré par monts et par vaux. Les guerres n'ont désormais plus de secret pour moi. J'ai vu tellement d'horreur, tellement de morts. Il me semble bien avoir arpenté tout les champs de batailles de ces 180 dernière années. C'est d'ailleurs comme ca que j'ai connu cette bande de raclure, les ... les ... ha les défaut de l'age, la mémoire s'effrite, en tout cas il sont mener par Draakh le ouf (péta a arba celle la ^^).
Ah oui ca me reviends.
Gentil petit gnome, tu es sur les terres des béotiens (
), dans le fief des plus grandes crapules qu'azeroth est porté et tu vas avoir l'honneur d'etre dégusté par une de leur pretresses.
Ne tente pas de fuir, il me semble qu'arba attends son gnome-cola derrière la porte. Et entre nous il vaut mieux que je le fasse, il me rete encore une once de compassion.
Et paf un autre pavé dans votre tronche.
P.S: comme vous avez vu je me suis permit quelques licences poétique (je crois que c'est comme ca qu'on dit qu'en on transforme (un peu) la vérité vu que je ne connais abdolument pas la bg de wow il a bien fallu
P.S.S: vous faites pas chier avec les fautes d'orthographe, je suis analphabete, ca servirai a rien ;-), pis je corigerai un peu quand j'aurais le temps de relire.
Sujet: Marie Dircia